Pouvoir
Dès la préhistoire, la nécessité de coordination des activités ou le besoin d‘organisation pour survivre a mené à troquer la sécurité contre une part de liberté personnelle.
Le pouvoirDès la préhistoire, la nécessité de coordination des activités ou le besoin d‘organisation pour survivre a mené à troquer la sécurité contre une part de liberté personnelle. Le pouvoir vient donc du besoin de protection du groupe. Mais paradoxalement, le pouvoir utilise les inégalités pour se renforcer. Du coup, les gouvernés sont ambivalents : respect pour la force d’arbitrage, mais méfiance pour les privilèges et les risques de domination qu’elle vient donc du besoin de protection du groupe. Mais paradoxalement, le pouvoirDès la préhistoire, la nécessité de coordination des activités ou le besoin d‘organisation pour survivre a mené à troquer la sécurité contre une part de liberté personnelle. Le pouvoir vient donc du besoin de protection du groupe. Mais paradoxalement, le pouvoir utilise les inégalités pour se renforcer. Du coup, les gouvernés sont ambivalents : respect pour la force d’arbitrage, mais méfiance pour les privilèges et les risques de domination qu’elle utilise les inégalités pour se renforcer.
Du coup, les gouvernés sont ambivalents : respect pour la force d’arbitrage, mais méfiance pour les privilèges et les risques de domination qu’elle représente.
Le PouvoirDès la préhistoire, la nécessité de coordination des activités ou le besoin d‘organisation pour survivre a mené à troquer la sécurité contre une part de liberté personnelle. Le pouvoir vient donc du besoin de protection du groupe. Mais paradoxalement, le pouvoir utilise les inégalités pour se renforcer. Du coup, les gouvernés sont ambivalents : respect pour la force d’arbitrage, mais méfiance pour les privilèges et les risques de domination qu’elle dépend d’une structure hiérarchique de commandement. C’est un droit alloué et auquel culturellement, les gens adhèrent ; Il n’est durable que si il y autoritéIl y a 2 types d'autorité: Un responsable hiérarchique doit officiellement son pouvoir au fait qu'il est désigné par la hiérarchie (le headship), qui lui délivre une autorité, attachée à un statut. Une personne doit également son influence à ses qualités personnelles, ses attitudes, sa motivation, son expérience, son sens de la communication et son intelligence sociale et humaine, qui lui confèrent un « leadership », c’est-à-dire une capacité à influencer et.
L’autoritéIl y a 2 types d'autorité: Un responsable hiérarchique doit officiellement son pouvoir au fait qu'il est désigné par la hiérarchie (le headship), qui lui délivre une autorité, attachée à un statut. Une personne doit également son influence à ses qualités personnelles, ses attitudes, sa motivation, son expérience, son sens de la communication et son intelligence sociale et humaine, qui lui confèrent un « leadership », c’est-à-dire une capacité à influencer et est également la reconnaissance d’un droit, comme le pouvoirDès la préhistoire, la nécessité de coordination des activités ou le besoin d‘organisation pour survivre a mené à troquer la sécurité contre une part de liberté personnelle. Le pouvoir vient donc du besoin de protection du groupe. Mais paradoxalement, le pouvoir utilise les inégalités pour se renforcer. Du coup, les gouvernés sont ambivalents : respect pour la force d’arbitrage, mais méfiance pour les privilèges et les risques de domination qu’elle, mais cette reconnaissance circule de bas en haut (à l’inverse du pouvoirDès la préhistoire, la nécessité de coordination des activités ou le besoin d‘organisation pour survivre a mené à troquer la sécurité contre une part de liberté personnelle. Le pouvoir vient donc du besoin de protection du groupe. Mais paradoxalement, le pouvoir utilise les inégalités pour se renforcer. Du coup, les gouvernés sont ambivalents : respect pour la force d’arbitrage, mais méfiance pour les privilèges et les risques de domination qu’elle).
La loi est doit donc être l’expression de la volonté générale (Rousseau, et déclaration des droits de l’homme), pour éviter le sentiment d’injustice.
La notion d’injustice est très précoce (dès 2 ans). Le cerveau social est une cour de justice.
Car elle est apparue avec le pouvoirDès la préhistoire, la nécessité de coordination des activités ou le besoin d‘organisation pour survivre a mené à troquer la sécurité contre une part de liberté personnelle. Le pouvoir vient donc du besoin de protection du groupe. Mais paradoxalement, le pouvoir utilise les inégalités pour se renforcer. Du coup, les gouvernés sont ambivalents : respect pour la force d’arbitrage, mais méfiance pour les privilèges et les risques de domination qu’elle, à l’origine, dans un environnement où s’exerçait une forte pression pour la coopération au sein des groupes. Il y a une aversion profonde à l’iniquité et à recevoir moins de satisfaction qu’un partenaire social.